Publications / Articles

Articles publiés par les membres de l’association dans des revues, livres, associations de recherche, etc.

« Avant l’histoire »
Association de recherche sur l’image photographique, 2020, <https://arip.hypotheses.org/1532&gt;

Mireille Besnard

« L’équipe de Bétonsalon s’empare du fonds Marc Vaux pour procéder à une résurrection du lieu ayant accueilli le musée de Montparnasse. Réouvert en tant que centre d’art, il répond aujourd’hui au nom de Villa Vassilieff ».

« La poursuite de l’extériorité »
in François Soulages, Thierry Tremblay (dir.), Interprétation & extériorité, Paris, L’Harmattan, coll. Eidos, 2019.

Gilles Picarel

« Si l’écriture se confronte à l’inexprimable et que les mots s’ouvrent à une modestie, confrontés qu’ils sont dans leur corps à corps avec l’indescriptible, alors l’écriture questionne la photographie dans la relation que cette dernière entretient avec son objet ou son sujet extérieur. Et la photographie, de son côté, irradie l’écriture de par l’insaisissabilité qui en constitue ses failles ».

« Chantier(s). Obra de Gregorio Graziosi » in Biagio D’Angelo, François Soulages & Suzete Venturelli (dir.), Esthétique & connectivité, Paris, L’Harmattan, 2018.

Raphäel Yung Mariano

« Ce livre regroupe des réflexions sur le passage d’une esthétique à une esthétique de la connectivité. Si les objets étudiés sont nombreux – photographie, cinéma,
peintures, objets technologiques, etc. – le fil rouge est celui d’un déplacement, d’une transition vers une nouvelle époque où la notion d’esthétique doit être repensée : elle est en chantier ».

« Entre Temps. Denis Roche » in Biagio D’Angelo & François Soulages (dir.), Temps. Photographie & littérature, Paris, L’Harmattan, 2018.

Raphäel Yung-Mariano

« Dans son livre Le Temps scellé, le cinéaste russe
Andreï Tarkovski réfléchit sur les spécificités de son art, sur la genèse de ses films et sur la responsabilité de l’artiste. Le cinéma y est notamment comparé à la littérature avec qui il partage une « unique liberté dont disposent les artistes dans l’organisation en séquence du matériau que leur fournit la réalité ».

« Dans l’antre de l’entre », Litter@ Incognita « Entre-deux : rupture, passage, altérité », n° 8, automne 2017.

Raphäel Yung-Mariano

« Souvent dans l’ombre de son mari Jacques Roubaud, Alix Cléo Roubaud a pourtant beaucoup écrit. Aussi bien une écriture intime – son Journal a été partiellement publié dans la collection dirigée par Denis Roche –, qu’une écriture théorique sur les images et, dans une thèse qu’elle ne terminera jamais, sur la philosophie de Wittgenstein ».

« Le visage de l’extériorité. Alix Cléo Roubaud » in François Soulages & Gilles Picarel (dir.), Photographie & extériorité, Paris, L’Harmattan, 2017.

Raphäel Yung-Mariano

« C’est à partir de ces quelques lignes écrites par Alix Cléo Roubaud dans son journal que la série qui nous intéresse a trouvé son titre : Quinze minutes la nuit au rythme de la respiration2. L’incision dans son propre texte fait écho à l’acte photographique, lorsque l’obturateur se déclenche et prélève la trace d’une extériorité ».

« Poétique de la reconstruction. Nurith Aviv » in François Soulages & Alejandro Erbetta (dir.),
Art & reconstruction, Paris, L’Harmattan, 2017.

Raphäel Yung-Mariano

« Certains artistes cherchent dans leur passé une ressource pour la création. Les histoires personnelles et familiales deviennent alors la possibilité d’aborder des problématiques universelles liées à la mémoire, au souvenir et à une histoire en perpétuelle reconstruction. Toute oeuvre est autobiographique, parfois de manière masquée, mais l’artiste laisse toujours transparaitre des fragments de son identité dans la création ».

« Le jeu de l’existence. Oscar Muñoz » in François Soulages & Bruno Zorzal (dir.), Images d’images, Paris, L’Harmattan, 2017.

Raphäel Yung-Mariano

« De nos jours, les images sont partout. Plus que jamais, réfléchir sur les images devient indispensable, mais aussi de plus en plus complexe par la multiplication des écrans et d’autres médiums où elles apparaissent. Alors pourquoi parler d’image d’image ? Quel intérêt à complexifier une approche déjà difficile car pluri-forme ? Cela permet un déplacement, mieux, une transformation du problème de l’image et de notre relation à celle-ci ».

«Art & extériorité féconde. Joseph Sudek » in François Soulages & Gilles Picarel (dir.), Art & extériorité, Paris, L’Harmattan, 2016.

Gilles Picarel

« De nos jours, les images sont partout. Plus que jamais, réfléchir sur les images devient indispensable, mais aussi de plus en plus complexe par la multiplication des écrans et d’autres médiums où elles apparaissent. Alors pourquoi parler d’image d’image ? Quel intérêt à complexifier une approche déjà difficile car pluri-forme ? Cela permet un déplacement, mieux, une transformation du problème de l’image et de notre relation à celle-ci ».

« Photographie, extériorité & transcendance. J. H. Engström » in François Soulages & Gilles Picarel (dir.), Photographie & extériorité, Paris, L’Harmattan, 2016.

Gilles Picarel

« Dans un certain sens, le terme « extériorité » pourrait remettre en question l’idée d’un dehors qui serait « posé là » – c’est-à-dire d’une extériorité donnée. Si, pour Le Grand Robert de la langue française2, l’adjectif « extérieur » fait référence à quelque chose situé « hors de », il n’en demeure pas moins que le sens de cette préposition implique l’idée d’un « dépassement, le franchissement d’une limite» ».